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3 novembre 2008

Réalisation d'un préamplificateur à tubes de type SRPP 4/4

Article 4


 

RÉALISATION DU PRÉAMPLIFICATEUR SRPP ANZAÏ

 

 

 


 

Aspect du préampli terminé, sans les alimentations, qui ont été prévues extérieures pour rechercher un meilleur rapport signal/bruit.

Le préampli ligne se réduit au seul circuit imprimé du bas, à l'exception des 4 supports novals qui ont servi à des essais (SRPP à 4 lampes en parallèle, projet d'adjonction EL84...)

Les 4 autres plaquettes de circuit imprimé représentent le correcteur RIAA et l'amplification dédiés à la lecture des microsillons

 

DSC03148_copie

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ECC82_COURBE

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Attention, les tensions mises en jeu sont dangereuses !

Une main à la poche révolver du pantalon au cours des tests est un gage de sécurité ...

danger_haute_tension

SRPP_580

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A SUIVRE ...

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Cet article est en cours d'écriture ...

AK5_copie_ANIM

Décembre 2020.

Je constate que cet article n'a pas été mené à terme. Entendons par là qu'aucun plan de circuit imprimé n'a été publié - simplissime soit-il.

Ayant abandonné le loisir électronique, je serais incapable de le poursuivre. Ce préampli n'ayant cessé de fonctionner depuis sa réalisation, sans panne et sans remplacement des triodes jusqu'à aujourd'hui, d'autres loisirs m'ont attiré.

Cependant, toute personne maîtrisant un tant soit peu la réalisation audio est à même de concevoir ce montage à partir du plan publié, pour lequel on peut très bien se passer de circuit imprimé au profit d'un montage "en l'air", ce qui a été réalisé en premier pour ce même montage SRPP avec succès.

 

JCP

 

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29 octobre 2008

Sous le casque

SENNHEISER HD 650                          GRADO SR 325 i

 


 

5129_casque_hd_650_big      sr325i_copie_copie

 

 


 

Après diverses écoutes comparatives, le combat américano-germanique entre Grado et Sennheiser se solda par une assez belle victoire de la patrie de Beethoven et de Wagner sur celle de Hank Willams et de Miles Davis, il en fut ainsi, pour cette fois...

 


 

Impressions d'écoute comparative entre deux intéressants modèles des leaders actuels en matière de casques pour audiophiles exigeants: Grado (USA) et Sennheiser (Allemagne).

Matériel utilisé:
Amplificateur intégré Microméga IA 60, bas de gamme audiophile dernière génération (France).
Lecteur de CD Microméga "CD10", bas de gamme (665 euros, France), mais ayant obtenu un "Diapason d'or" en octobre 2008 dans la revue Diapason.

- Casque électrodynamique Grado 325i (400 euros chez ADHF)
- Casque électrodynamique Sennheiser HD 650 (325 euros chez ADHF, 450 à la Fnac...)

Lieu d'écoute: un des salons ADHF, 6 r. du pont vieux, Toulouse.

Sur du rock ou avoisinant ("Kaya" de Marley, Island, enregistrement analogique d'exception):
Préférence donnée un moment au Grado 325 i, pour une définition plus précise, les autres qualités demeurant équivalentes pour les deux casques (graves, voix, finesse).
Un inconfort notoire handicape hélas le Grado:
contact direct de mousse plutôt dure avec l'oreille, pour un coussinet trop petit qui écrase le lobe et l'échaufferait probablement à terme.
L'arceau mal conçu ne permet pas la rotation des écouteurs dans le plan horizontal, qui compriment inégalement l'oreille de haut en bas.
Le HD650 se montre au contraire exemplaire au niveau du confort: l'oreille reste libre et non compressée dans un large coussinet de fin velours qui l'entoure; la rotation multiplan de l'arceau permet de plus une adaptation optimale (optifemelle aussi assurément...) des écouteurs à toutes morphologies crâniennes.

Sur des voix et des choeurs (La Traviata, Johan Sutherland, Pavarotti, Decca), la différence n'est pas flagrante, cependant la définition semble meilleure avec le Grado, notamment sur les harmoniques des voix qui semblent mieux (trop ?) rendus.

Comme toujours en hifi, le juge de paix s'appelle violon, c'est lui qui tranche, décide, punit !
Cet instrument, quasi-impossible à rendre avec une fidélité abolue, même par les systèmes les plus onéreux, n'a pas son pareil pour vous démonter les plus hautes réputations, sans doute établies sans lui...

A l'écoute du concerto de piano de Mozart N° 20 (Brendel, Marriner, enregistrement analogique Philips) et des concertos de violon du même Mozart (Szerying, enregistrement analogique Philips), les remarques suivantes s'imposent:
Certaines duretés accompagnent les montées les plus aigües du ou des violons avec le Grado, rançon d'une définition un peu supérieure au Sennheiser.
A l'écoute des tutti les plus violents de l'orchestre symphonique, on retrouve aussi quelques duretés frisant parfois le métallique sur les violons avec le Grado, alors que le piano est restitué avec une finesse et une justesse rarement écoutées sur un casque électrodynamique.
Mais il est notoire que certaines duretés à nuance métallique passent mieux sur les cordes métalliques d'un piano, que sur celles d'un violon...
... D'où mon choix tout personnel pour le Sennheiser HD 650 qui pour moi allie confort de port et d'écoute. Même si la définition du Sennheiser reste en très léger retrait par rapport au Grado, son naturel, sa fluidité et son absence d'agressivité m'ont convaincus, la restitution du violon en solo et en groupe fait la différence, à mon oreille ... et avec le matériel utilisé pour l'écoute.
Par ailleurs, ces impressions d'écoute se sont confirmées à domicile (il n'y a pas de notion d'acoustique de la pièce pour un casque).
Matériel actuel:
- Lecteur CD Philips CD 614 bas de gamme (provisoire, en remplacement du regretté Mission PCM 7000, haut de gamme anglais qui a été remarquable durant 22 longues années ...)
- Préamplificateur à tubes, réalisation personnelle sur schéma SRPP, un ECC82 par canal sur préampli ligne.
- Amplificateur à tubes, rélisation personnelle sur schéma "LED",  "le Quatuor", classe A de 18 watts, quatre tubes EL84 russes, "Sovtek" par canal.
- Casque électrostatique amèrement regretté, objet de cet article: STAX SRX, haut de gamme fin années 70, irrécupérable (diode zéner à 50 centimes introuvable, et sans équivalent).
- Enceintes JBL "L26": boomers 25 cm aimants "alnico" rebobinés et remembranés deux fois, twweters JBL jugés agressifs, remplacés par des Audax à dôme, tout à fait acceptables sur le violon.

Des impressions d'écoute plus approfondies seront publiées au terme de 100 heures d'écoute, afin de s'affranchir de l'effet de grâce de l'acquisition nouvelle. Différents types de musique seront écoutés, du rock au classique en passant par l'opéra et le jazz.

JCP

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Les 4 EL84 drivés par un ECC83 (canal droit) de l'amplificateur classe "A" de 18 watts.

DSC01361_TUBES_REGL_copie

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JCP

 

 

 


 

 

 

Ci-dessous: pour mieux connaître Sennheiser, sa présentation, relevée sur le site officiel.

 

 


 

 

Sennheiser : une marque synonyme d’excellence
La marque Sennheiser est à l’origine des plus grands produits de l’histoire du son :
des légendaires microphones de reportage radiophoniques aux premiers casques de type ouvert.
Depuis 60 ans, ses produits d’excellente qualité et ses solutions complètes “sur mesure” couvrent tous les aspects du son : de son enregistrement et sa transmission à sa reproduction.

Il y a quelques années, l'industrie cinématographique a même décerné à Sennheiser le "Scientific and Engineering Award pour le développement d'un microphone tubulaire directif, c'est "l'Oscar technique du son".

En 1945, le Dr. Fritz Sennheiser se lance dans l’aventure de la création d’une nouvelle société, en compagnie de sept ingénieurs et techniciens. Ces spécialistes en recherche et développement transforment leur institut universitaire, transféré de Hanovre au petit village de Wennebostel pendant la guerre, en ce qui devient le "Labor W". Ils y conçoivent et fabriquent leurs premiers produits : des instruments de mesure. Moins d’un an plus tard, ils ajoutent des microphones à leur catalogue. Pleine de ressources, leur équipe accumule ensuite les succès dans de nombreux domaines de la technologie audio.

Un entreprise familiale à portée internationale
De ses humbles débuts, Sennheiser electronic a gardé son esprit de pionnier : développer et fabriquer des microphones de haute qualité, des technologies HF et des casques toujours plus performants.

Reconnu comme un des leaders mondiaux dans le domaine des solutions audio complètes, Sennheier est devenu aujourd’hui un groupe de dimension mondiale.
L’entreprise groupe plusieurs sociétés et compte plus de 1600 salariés dans le monde

Un important choix de produits
L’offre produits, très large, est complétée par des systèmes de conférence et d’interprétation, des systèmes infrarouges, des produits pour les malentendants, et des micros/casques destinés à l’aviation. Le Groupe Sennheiser inclut également le spécialiste des microphones de studio Georg Neumann GmbH (Berlin), le fabricant de moniteurs de studio et d’enceintes de sonorisation K+H et la joint-venture Sennheiser Communications, basée au Danemark, qui propose des combinés casque/micro destinés à des applications bureautiques, aux jeux vidéo et aux centres d’appel.

Priorité numéro une  : la R&D
La priorité principale de Sennheiser a toujours été la recherche et le développement. La société a acquis son exceptionnelle réputation mondiale grâce à d’innombrables innovations :
La priorité principale de Sennheiser a toujours été la recherche et le développement. La société a acquis son exceptionnelle réputation mondiale grâce à d’innombrables innovations :
• l’invention du casque ouvert dans les années 60,
• la technologie de transmission infrarouge dans les années 70,
• les énormes progrès réalisés dans le domaine des transmissions HF multicanal dans les années 80,
• les systèmes d’écoute Surround basés sur les fonctions de transfert de la tête de l’auditeur dans les années 90,
• et les systèmes audio de visite guidée « intelligents » au début du nouveau millénaire.
Les centres R&D en Allemagne et en Californie assurent à Sennheiser son avance technologique et son positionnement de leader innovant sur le marché.
Les nombreux brevets et distinctions, dont deux trophées de l’Innovation allemands, un ‘Scientific and Engineering Award’, un Oscar et un Grammy, récompensent à juste titre, les équipes de Sennheiser pour leur capacité d’innovation et leurs performances de qualité.
« Les idées demandent de la place pour exister. J’ai toujours voulu donner à notre équipe de recherche et développement la liberté désirée pour développer ses idées ». Le fondateur de la société, le Prof. Dr. Fritz Sennheiser.

Sennheiser : la qualité de la production à la distribution.
« C’était certainement ma plus importante décision : ne pas se contenter de fabriquer des produits, mais aussi être responsable de leur commercialisation », indique le Prof. Dr. Jörg Sennheiser, aujourd’hui Président du Conseil de Surveillance.

Le siège social de Sennheiser electronic GmbH & Co. KG se trouve toujours à Wennebostel – le petit village fait maintenant partie de la municipalité de Wedemark. La société possède également des sites de production :
• un autre site allemand, à Burgdorf (cartes électroniques, technologie HF),
• ainsi qu’à Tullamore, en Irlande (production de casques)
• et à Albuquerque, aux USA (technologies sans fil pour le marché américain).

Les produits Sennheiser sont commercialisés par un réseau mondial de filiales et de partenaires de ventes de longue date : les filiales de distribution se situent en Allemagne, en France, en Angleterre, aux USA, en Asie, au Canada, en Belgique, en Hollande, en Russie, en Inde, et en Scandinavie.
En 2006, les ventes réalisées par le Groupe Sennheiser ont représenté plus de 350 millions d’euros.

D'après le site officiel SENNHEISER

 

 

 

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Des nouvelles rassurantes pour le constructeur français.

SanADcopie

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JCP 

 

 

 



16 décembre 2007

RESTITUTION SONORE (2)

Petite histoire de la restitution sonore (suite...et fin provisoire)

Vint donc le microsillon, tout d'abord reproduit par l'amplification à tubes électroniques sur les modestes électrophones qui étaient les nôtres; la Haute Fidélité ou "HIFI" qui avait vu le jour aux Etats-Unis et en Angleterre, encore inconnue ici, n'aurait de toutes façons pas été à la portée de nos bourses.

Et c'est à la formidable percée du Jazz que l'on doit l'évolution des techniques de reproduction.
D'abord affaire de techniciens passionnés, la prise de son devint vite affaire de "business", Etats-Unis obligent; mais reconnaissons que nos oreilles y ont trouvé le plaisir qu'elles n'auraient pas connu sans le Jazz américain.
Les progrès furent fulgurants outre-atlantique, tout était mené de pair: Electronique, microphones, haut-parleurs, connaissance de l'acoustique firent un bond considérable, grâce à un public aussi large que connaisseur. Il suffit pour s'en convaincre d'écouter des enregistrements de Jazz des années quarante et cinquante, certains sont remarquables, restaurés pour le CD et parfois même "stéréophonisés" - avec un inégal bonheur cependant.
La stéréophonie, progrès décisif vers le réalisme de la restitution se démocratisa au cours des années soixante, suivant la percée définitive du transistor qui remplaçait le tube électronique, coûteux, fragile et délicat à mettre en oeuvre du fait des hautes tensions nécessaires.
Ce remplacement obligé n'alla pas sans heurt, le transistor des débuts n'offrant qu'un son sec et agressif assez éloigné de la vérité sonore. Ceci est encore vrai aujourd'hui si le transistor est mal mis en oeuvre, et le retour à l'utilisation du tube électronique pour une meilleure restitution sonore en témoigne.

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Ci-dessous: vue d'un canal d'un amplificateur de puissance stéréo de 18 watts à tubes (ECC83 + 4x EL84) fonctionnant en classe "A" (construction amateur personnelle). Associée aux techniques actuelles (régulation de tension à transistors et circuits intégrés), la technologie tubes connaît une fiabilité et un rapport signal/bruit qu'elle n'a jamais approchés, tout en conservant sa légendaire sonorité.

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Jean-Claude

11 décembre 2007

RESTITUTION SONORE (1)

Au début, quand le commencement n'était pas et que l'avenir ne se nommait pas encore futur, ouir la musique impliquait concert.
Les gens du peuple pouvaient l'entendre dans la rue, dans les estaminets, les familles bourgeoises en achetaient les partitions, certains la jouaient, la chantaient.
Mais ce sont les procédés d'enregistrement qui allaient lui offrir un degré de diffusion inconnu jusqu'alors.
D'abord gadget (on n'utilisait pas ce mot...) réservé à une élite fortunée, le phonohraphe trôna bientôt sur les buffets les plus modestes.
Avec l'enregistrement électrique, ce fût le microsillon qui propulsa définitivement l'écoute de musique au rang qu'on lui connaît aujourd'hui. Vint ensuite le "CD" dans sa forme actuelle qui ne fît que confirmer ce statut déjà acquis.
Qui a connu ces stades de l'enregistrement musical est apte à mesurer la chance que nous avons aujourd'hui de pouvoir écouter sans retenue - et sans trop se ruiner - les morceaux et les oeuvres complètes souhaités d'un geste banal.

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Ci-dessous, un phonographe des années 1920 "Pathé Jeunesse" tournant à 100 tours/minute avec départ au centre, particularités qui causèrent sa perte dès l'apparition du standard 78 tours avec départ à la périphérie.

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Phonographe 78 tours/min. , modèle populaire capable déjà de faire danser par une autonomie accrue (quelques minutes), vitesse plus lente, diamètre du disque plus important - Années 1930.

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Jean-Claude

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