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Parole de Musique

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6 janvier 2008

HANK WILLIAMS

"Hillbilly Heroe",  HANK WILLIAMS

4 CD MCPS PROPER Properbox 39

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Attention, bottes et chapeau ! Mal aimée en France, le plus souvent par méconnaissance, la musique Country mérite pourtant bien le détour ...

Ici représentée par l'un de ses plus ardents et talentueux créateurs, HANK WILLIAMS, étoile filante ( 1924  - 1953  ) disparu avant ses trente ans, détruit par l'alcool et les drogues comme tant d'autres ...

Ces quatre disques offrent l'essentiel de la production de ce prolifique artiste, entouré des meilleurs musiciens de son époque. Il y a ici de pures perles, des "tubes" immortels de la Country repris de nos jours encore par les plus grands. On peut ne pas aimer le "Yodle", curieuses vocalises proches de la Tyrolienne, mais la plupart des titres méritent une écoute attentive, même si cette musique est parfois taxée des excès idéologiques texans, politiques ou religieux qu'on peut lui reprocher ... Wagner, Picasso, subirent de dures critiques -  justifiées - pourtant leur art est désormais universellement apprécié ...

Il est temps de réhabiliter la musique Country dans notre pays, tout au moins de l'écouter d'une oreille impartiale avant de la dénigrer ...

Site: http://www.hankwilliams.com/

Jean-Claude

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5 janvier 2008

PARCOURS INITIATIQUE

"Kind of Blue",  MILES DAVIS, 1959

Miles DAVIS, trompette
Jullian "CANNONBALL" ADDERLEY, saxophone alto
John COLTRANE, saxophone ténor
Wynton KELLY, piano / N°2
Bill EVANS,  piano
Paul CHAMBERS, contrebasse
Jimmy COBB, batterie

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Détestant cordialement le Jazz de façon congénitale mais le respectant comme musique authentique et savante, il me fallut plus d'un effort pour en arriver à le goûter sans arrière pensée...!

Un ami passionné et ce disque retournèrent la tendance; il faut dire, puisque maintenant je le sais, qu'on est là en présence d'un des chefs d'oeuvres de Miles DAVIS et donc du Jazz tout court...
Loin des primitifs accents New-Orléans et des outrances du Free-Jazz, il y a ici une musique noble, un débordement d'énergie, du talent et des compositions génialement interprétées, pardon, improvisées ...

Mais c'est ce seul titre "TIME AFTER TIME" qui a déclenché l'avalanche de CD de Jazz sur mes étagères étonnées, on n'est à l'abri de rien ...
Inclus dans l'album "YOU'RE UNDER ARREST", cette insignifiante reprise d'un morceau de la non moins insignifiante Cindy Lauper, pâle chanteuse de variétés américaine, portait ce pouvoir insoupçonné; mon porte-monnaie se souvient ...

L'incroyable sonorité de la trompette bouchée de Miles DAVIS dans ce "Time After Time" qui tournait en boucle m'ouvrait grandes les portes du Jazz, d'un coup, d'un seul !
D'abord hésitant, timide même, le parcours devint fébrile, autodidacte, passionné, jusqu'à, rassasié, disposer de deux bons mètres de CD sur les étagères qui en parlent encore ...

Mais tout au fond de l'oreille, ces sonorités nouvelles n'allaient pas de soi, la batterie jouée finement et la contrebasse peu sonore devaient y faire leur trou. Habitué, fanatique même, des puissantes basses électriques du Rock, qu'elles soient de chez Fender, Gibson, Rickenbaker ou autres, cette contrebasse au son perçu comme modeste et peu varié ne passait pas; pas plus que ces batteries au son clair et jouées sans les excès du Rock - certains grattaient même leur peau avec un balai !

Pourtant, les choses se firent, l'intérêt, d'abord limité aux seuls solistes, s'élargissait peu à peu vers la rythmique, surtout si on y adjoignait le piano. Au point de trouver dans l'intro de "SO WHAT", premier titre de cet enregistrement, une percée de contrebasse comme je n'en avais jamais entendu, le Jazz avait du talent, j'avais vécu en ignorant...
"KIND OF BLUE" suscita tout entier mon intérêt, y découvrant tout autant la trompette de Miles Davis que le saxo ténor de John COLTRANE et celui de "Cannonball", en plus de la contrebasse dont Paul Chambers était le responsable, ce nom fut noté.

Ce disque sonnait bien le départ d'un nouveau et passionnant parcours musical ...

Site: http://www.milesdavis.com/

Jean-Claude

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4 janvier 2008

CONCERT ROCK AU PHARE, Tournefeuille

Dans le cadre du festival "Première pression", au " PHARE",  Tournefeuille (Haute. Garonne):
Trois groupes Rock dont "SUNDAY DRIVERS" et "KILL THE YOUNG"

Le 16 Novembre 2007

KILL_EAR

Déjà on se pressait aux portes du PHARE, toute nouvelle salle de festivités et concerts, à Tournefeuille; la queue se formait, s'étirait déjà dans une belle rectitude, il n'y avait plus qu'à attendre par quatre bons degrés au dessous du zéro.
Au bout d'une grosse demi-heure la semelle battait le trottoir mais notre position dans la queue laissait augurer des meilleures places pour le concert. Il fallait se rendre à l'évidence, ici on était fort jeune et nos têtes dépassaient de la foule, au demeurant étonnant calme et bon enfant.

Ici point de crâne d'oeuf, le cheveu se portait long, le vêtement n'était pas de marque sportive, la chaussure était plutôt cirée et le discours semblait sage, réfléchi, voire érudit.
Sous ces bons augures, on ne pouvait qu'être certains d'une musique plaisante et assurément composée de belles notes...

Evitant de peu l'engelure, le signal de l'entrée fût donné par quelques robustes gaillards qui auraient déchiré plus de 100 tickets d'entrée d'un coup sans sourciller, nous voici dans la place.
Belle salle, coupée en deux d'un rideau juste derrière les consoles de mixage, grande scène surchargée de matériel musical, on n'allait pas tarder à être renseignés auditivement sur l'évènement...
Attendant ce moment, une bière au prix raisonnable fut avalée au bar sur lequel était négligemment posé...un plein seau de tampons "Quiès"... prudents, nous en fîmes provision; car j'avais bien emporté du papier hygiénique, efficace frein sonore, mais puisqu'on fournissait...

La suite prouva le bien fondé de notre geste: Le premier groupe, du Hard-Rock de Carcassonne des plus redoutables, imposait bien le bouchon !
Il ne fût guère retenu de ces musiciens amateurs, excepté la gestuelle et la hauteur du décibel, ce n'était qu'un lever de rideau après tout...

Après nouvelle désaltération, le second groupe, SUNDAY DRIVERS, des Espagnols, s'avéra des plus intéressants par une musique à la fois musclée et teintée de Rock californien; son chanteur était d'un excellent niveau, les instrumentistes (2 guitares, steel guitar, orgue, basse, batterie) capables de belles interventions en soliste. Bref, très enthousiasmant, ... mais ce devait être le dernier groupe l'incontestable vedette attendue par ce jeune public...

KILL THE YOUNG, trois frères de Liverpool, la ville qui a vu naître les Beatles, on ne serait pas déçus...

Et ce fût vrai ! dès le premier riff de guitare, les mains cherchaient fébrilement dans les poches le sachet de deux tampons, il fallait en premier sauver le tympan de cette lave sonore, avant même de penser l'écouter.
Mélange de riffs de guitare stridents et mal ajustés, de vociférations recherchant l'aphonie, de coups de basse distordus faisant trembler jusqu'aux os, d'un déluge de coups assénés à cette pauvre batterie aux peaux en survie, cette bouillie sonore décevait, pire, irritait !
Un pourcentage du public quitta le lieu, nous résistâmes, encore heureux d'avoir pris place tout au fond de la salle, adossés à la console...
Mais le concert, parfois émaillé de tentatives solistes du guitariste/vociférateur bien peu convaincantes, s'éternisait, ces gaillards avaient du répertoire, et ce fût soulagement lorsque - un miracle - tout s'arrêta...
Quel bien être, tympans à nouveau à nu, on n'entendait plus que le brouhaha de la foule qui quittait le lieu, le piétinement des road managers sur le plancher de la scène enfin privée de ces instruments tellement dévastateurs ...

Nous sortîmes rejoindre le parking dans le frais silence de la nuit; et il n'était pas nécessaire de se rendre en Provence pour y écouter les cigales, elles chantaient dans nos oreilles - heureux de ne pas y entendre plus - après cette terrifiante avalanche sonore à laquelle on avait survécu ...

Jean-Claude

Source photos: les sites internet des groupes.

Les excellents Sunday Drivers

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Le chanteur des SUNDAY DRIVERS

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Le guitariste soliste des SUNDAY DRIVERS

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Le bassiste des SUNDAY DRIVERS, une "RICKENBAKER", rien de moins ... les connaisseurs apprécieront.

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SUNDAY DRIVERS

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L'organiste, chanteur et steel-guitariste des SUNDAY DRIVERS

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Le batteur des SUNDAY DRIVERS

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Source photos: les sites internet des groupes.

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KILL THE YOUNG ...

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... et les bouchons d'oreille qui vont avec ...

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Source photos: les sites internet des groupes.

3 janvier 2008

MOBY GRAPE

"Trule Fine Citizen" , MOBY GRAPE, 1969,  USA.

Qui connaît ce charmant petit groupe sans prétention de la côte ouest américaine qui méritait bien une plus large diffusion ?

Marchant sur les traces dez BYRDS (encore et toujours leurs influences...), ces quatre musiciens nous offrent là de superbes ballades, parfois même franchement géniales, et qu'on n'oublie pas... Hélas, leur succès qui n'a été que celui de l'estime aux USA n'a guère traversé l'Atlantique ...

STUDIO SESSION: Truly Fine Citizen (4th album)
Truly Fine Citizen - Columbia Records - CS99912
Recorded (3 days in May 1969)
Released August 1969
        Changes
        Circles Spinning
        Looper
(a2)    Truly Fine Citizen (5-29-69)
        Beautiful Is Beautiful
        Love Song
(a2)    Right Before My Eyes (5-28-69)
        Open Up Your Heart
        Treat Me Bad
        Tongue-tied
        Long Son, Part Two

Site: http://starling.rinet.ru/music/grape.htm

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Jean-Claude

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2 janvier 2008

Jean sébastien

Sonates pour violoncelle seul, Jean-Sébastien BACH (1685-1750)

Violoncelle: Paul Tortelier (1983) - 2 CD EMI Digital

Superbe interprétation dont on ne se lasse pas, préférée à celle de Bylsma, pourtant bénéficiant d'une prise de son meilleure et des couleurs chatoyantes d'un magnifique instrument historique de collection ...

Cette interprétation que le temps n'a pas atteint représente la musique de BACH dans toute sa splendeur, à mille lieues de tout romantisme, de tout maniérisme, celle qui touche l'esprit au plus profond...

A écouter aussi par Anner BYLSMA: 2 CD SONY CLASSICS "Vivarte", 1992, sur violoncelle Stradivarius "Servais", collection Smithsonian Institution.

Site: http://www.musicologie.org/Biographies/bach_js.html

Jean-Claude

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30 décembre 2007

CARLOS NUNEZ

"Mayo Longo",  CARLOS NUNEZ

El Rey de la Gaita !

On le nomme le "Jimi Hendrix" de la cornemeuse dans le milieu de la musique celtique, mais il est aussi remarquable au Tin Whistle ou à d'autres flûtes qu'à la gaïta, la cornemuse galicienne, très proche du biniou breton.

Il est la vedette incontestée de chaque édition du festival interceltique de Lorient, le Bagad de Lann Bihoué l'y accompagne fréquemment pour des prestations où les musiciens irlandais, gallois ou bretons s'invitent à tour de rôle ... ou tous ensemble.

Ce Galicien qui vit désormais dans le Finistère est la figure de proue actuelle de la musique celtique, réunissant les plus grands musiciens et chanteurs sur ses enregistrements, celui-ci est un des plus réussis.

Ecoutez aussi Susana SEIVANE, autre joueuse de gaïta, toujours présente elle aussi au festival de Lorient.

Site:   http://www.carlos-nunez.com/

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Jean-Claude

29 décembre 2007

CULTIVONS LE RYTHME

"Harder Than the Rest",  CULTURE  (1978)  - REGGAE

A la disparition de Bob MARLEY, Robert SHAKESPEARE (basse) et Sly DUNBAR (batterie), qui représentaient la meilleure rythmique Reggae de la Jamaïque participèrent aux enregistrements de CULTURE, groupe reggae déjà très connu en Jamaïque.

Ce disque, comme tous ceux de CULTURE, prolonge le talent de MARLEY. Certes nous regrettons tous Bob MARLEY, mais Joseph HILL et ses acolytes parviennent à adoucir un peu sa perte, et ceci avec beaucoup de talent et un sens du rythme auquel on ne résiste pas !

Ecoutez la voix rocailleuse de Joseph HILL propulsée par la section de cuivres et l'incroyable rythmique ...

CULTURE a enregistré de nombreux autres albums, tous d'un excellent niveau, abordant parfois le DUB avec le même bonheur.

Joseph HILL nous a hélas quitté brutalement le 21 août 2006, en pleine tournée.

Site: http://www.cyberus.ca/~jdooley/index.htm

Site: http://news.reggaefrance.com/555/200608/joseph-hill-decede-brusquement.html

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Jean-Claude

27 décembre 2007

RIGOLETTO PAS RIGOLO

"Rigoletto",   Guiseppe VERDI (1813-1901)

On ne rit pas dans Rigoletto qui est un des drames les plus noirs qui aient été portés à l'opéra par VERDI.

Cet opéra peut poser problème quant au livret auquel il est possible de voir certaines invraissemblances et même quelques faiblesses, et ce, malgré ses origines: "Le Roi s'Amuse" de Victor HUGO transposé par l'excellent librettiste auquel faisait le plus souvent appel Verdi, Francesco Maria PIAVE. La scène des yeux bandés de Rigoletto montant à l'échelle poussé par les courtisans afin de participer à l'enlèvement de sa propre fille à son insu, celle du meurtre final dérouté par un simple déguisement, et ceci de façon délibérée, peuvent attirer la critique. D'autant que VERDI n'a recours à ce genre d'artifice un peu forcé dans aucun autre de ses opéras. Cependant, même si on est ici encore éloigné de l'opéra vériste de PUCCINI, les mascarades de type bouffe, mozartiennes et autres n'ont pas cours chez VERDI ...

Mais la musique, l'équilibre entre action et airs fait de cet opéra un pur chef d'oeuvre de l'art lyrique, ici admirablement servi par Cappucilli (Rigoletto), Domingo (Le Duc de Mantoue), Cotrubas (Gilda); l'orchestre de Vienne et Guilini ne sont pas en reste. L'enregistrement sonore d'excellente qualité (1980) ajoute encore au plaisir d'écoute.

Tous les grands airs sont là, Capuccilli campe un remarquable Rigoletto avec sa noire méchanceté, puis sa sincère souffrance de père; Domingo affiche toujours les qualités qu'on lui connaît, enfin Ileana Cotrubas est assortie de la voix jeune, pure et un peu naïve inhérente au rôle de Gilda (l'air "Caro nome ..Gualtier Maldé", est merveilleusement interprété...).

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Jean-Claude

23 décembre 2007

DON GIOVANNI

"Don Giovanni",  MOZART  (1756-1791)

L'Opéra Majuscule!

Découvrant cet opéra en 1970, dont l'onéreux coffret de quatre microsillons me fût généreusement prêté par un ami, Don Giovanni allait marquer tout mon parcours lyrique. Appuyé peu après par la sortie du film de Joseph Losey, avec Ruggiero Raimondi, José Va Dam, Teresa Berganza, Kiri Te Kanawa, sous la direction de Lorin MAAZEL, Don Giovanni restera longtemps ma référence lyrique, mes bases de comparaison inconscientes.

Cette version, la première écoutée et rééditée en CD n'a pas eu les hauts éloges des critiques de disques, pourtant Dietrich Fisher Dieskau y est remarquable d'autorité, de truculence et de cynisme. Ezio Flagello qui n'a jamais fait les devants de scène, y est parfait en Leporello, Martina Arroyo, Birgit Nilsson alors jeune, et surtout le remaquable ténor Peter Schreier tirent bien l'épingle de leur jeu. La direction de ce grand mozartien q'était Karl Boëhm y est très bonne également, même si de ci de là on aurait aimé un jeu un peu plus enlevé.

Depuis, il y a eu les versions de Giulini, de Solti, avec de meilleures distributions et des orchestres plus éclatants, mais malgré tous ses défauts, la version de Boëhm reste ma préférée, sans doute à cause de Fischer Dieskau, insurpassble dans le rôle-titre, à mes yeux du moins ... Pourtant rien ne prédisposait ce pur Allemand, avant tout spécialisé en Lieder - où il excelle - à chanter et à jouer Don Giovanni avec cette maîtrise, la marque des grands sans doute ...

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Jean-Claude

22 décembre 2007

CROYANCE américaine

"Cosmo's Factory",  CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL, 1970, USA.

Incontestable chef d'oeuvre du Rock américain, incontournable dans la discothèque de tout amateur de Rock qui se respecte. Le désaccord entre les frères Fogerty n'a pas encore dirigé le groupe vers sa perte, ils sont là au sommet de leur art, ce disque est leur cinquième, la technique vocale et instrumentale est à son meilleur. Génial et intemporel, on regrette toujours la disparition de ce groupe, même si le leader, John Fogerty, mène toujours une carrière solo émaillée d'excellents albums comme "Blue Moon Swamp" où on retrouve tout ce qui a fait Creedence.

A signaler ici un morceau "Who'll Stop the Rain" dirigé contre la guerre au Viet-Nam, au paroxysme de son intensité à l'époque et une longue reprise de "I Heard it Trough the Grapevine".

C'est la salle d'une ancienne fabrique, lieu des répétitions du groupe tel qu'on la voit sur la jaquette qui a donné son titre à l'album.

Site: http://www.creedence.fr/

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Jean-Claude

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