"Tutu"  Miles DAVIS (1926-1991),Jazz, USA, 1986.

Le titre a été inspiré par le sud-africain Desmond TUTU auquel deux titres sont dédiés: Tutu et Full Nelson.

Apparition du bassiste-compositeur Marcus MILLER qui co-signe avec Miles la majorité des titres. Ici Miles confirme sa percée vers le Jazz-Rock, un concept musical nouveau créé par lui-même.

JCP

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"Os Amores Libres" Carlos NUNEZ, musique celtique, Galice (1999).

Le maître de la gaïta (cornemuse galicienne) fusionne ici sa musique avec quelques brefs accents plus traditionnellement espagnols qui seront peut être diversement appréciés, des goûts et des couleurs ... Mais sa musique, comme toujours, reste celtique, vive et inspirée.

Pour faire connaissance avec ce talentueux sonneur, tout autant à l'aise à la gaïta qu'au tin whistle et à toutes autres sortes de flûtes, "MAYO LONGO" serait peut être à préférer, plus purement celte au sens du terme habituel, ce qui n'enlève rien à la valeur de cet excellent enregistrement ...

JCP

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6 sonates pour cordes, ROSSINI (1792-1868).

Rossini, fort heureusement pour nous, n'a pas composé que des opéras, voici une oeuvre de jeunesse (20 ans) tout à fait réjouissante, vive, enlevée, irrésistible dans sa simplicité et sa spontanéité. Superbe interprétation des Solisti Italiani qui ne fait pas oublier celle des Solisti Veniti de Claudio Scimone, plus ancienne, mais remarquable elle aussi (Erato). Excellente prise de son DENON (1987).

Les opéras/opérettes de Rossini ne me touchant guère, c'est toujours avec un certain regret que j'écoute cette oeuvre (et sa petite messe solennelle aussi), me plaisant à imaginer les symphonies, concertos et quatuors que ce compositeur n'a pas daigné ecrire mais qui, à coup sûr, auraient ravi nos oreilles !

Ce double CD est complété par les rares et intéressants quatuors de Donizetti, dont on ne présente pas l'oeuvre lyrique ... des quatuors chantants ...

JCP

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"Like a Hurricane", Chris HILLMAN, Rock USA, 1998.

Par le transfuge des trop regrettés BYRDS dont il tenait la basse, un très bel enregistrement qui allège un peu nos éternels regrets. Indispensable à ceux qui ont connu les BYRDS, avec surtout "Back From Rio" du maître en personne: Roger Mc GUINN (une merveille, une gourmandise inespérée !).

Site:

http://www.chrishillman.com/

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JCP

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"Cinema do Mar", Carlos NUNEZ, musique celtique, Galice, 2005.

Carlos interprète ici les grands thèmes de musique de films, à écouter surtout pour la sonorité et la maîtrise de l'instrument: un régal absolu pour l'oreille !

Sites:

http://www.celtic.be/fr/fr4.html

http://www.ramdam.com/art/n/carlosnunez.htm

http://florian.muller2.free.fr/

JCP

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Tannhauser,  Richard WAGNER (1813-1883).

Un des opéras de WAGNER les plus intéressants dans une interprétation récente et de référence (1989).

Domingo, un des rares "latins" capable de chanter Wagner y est remarquable, ainsi que Cheryl Studer, parfaite dans le rôle d'Elisabeth.

Très bonne prise de son Deutsche Gramophon.

Blog: http://richardwagner.free.fr/

Autre: http://www.musicologie.org/Biographies/w/wagner.html

JCP

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Louis and the Good Book, Louis ARMSTRONG (1901-1971), jazz USA.

Un disque d'anthologie (1958) indispensable, un succès mondial énorme.

Retour aux sources du jazz avec ces gospels supérieurement chantés, le plein de "tubes" du jazz et la voix inimitable de ce grand jazzmen tellement regretté !

JCP

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Le disque qui a marqué le renouveau de la musique celtique, son titre était prémonitoire ! (1972)

De superbes balades où l'instrument reste l'acteur principal, joué par celui qui en reste un des maîtres incontestés. Sans aucun doute, un des enregistrements les plus incontournables de la musique celtique.

Alan Stivell est en concert ce vendredi 28 dans le cadre du festival de guitare d'Aucamville (31), un compte rendu de la soirée sera publié sous peu dans la catégorie "CONCERTS".

Site:

http://www.alan-stivell.com/

JCP

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The Lionel Hampton Quintet, jazz  USA,  1954.

Hampton intime, avec son quintette formé de: Buddy Defranco (clarinette), Oscar Peterson (piano), Ray Brown (contrebasse), Buddy Rich (batterie).

Toujours époustouflant au vibraphone où il se cantonne ici, laissant piano et batterie à ses acolytes. Une longue et inspirée version de Flying Home (17 minutes) et quelques classiques repris avec bonheur. On pourra comparer ce Flying Home avec celui de son enregistrement parisien dans la série économique "Jazz in Paris", tout aussi intéressant. Un des plus grand de l'histoire du jazz !

Site: http://www.uidaho.edu/hampton/bio.html

JCP

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"From the Mars Hotel" et "In the Dark", GRATEFUL DEAD, Rock USA, 1985, 1987

Le DEAD avant que Jerry GARCIA ne nous quitte, victime du diabète, un grand disparu ... dont le groupe ne s'est pas relevé ... le DEAD sans GARCIA ...

Deux disques très inspirés du groupe en pleine maturité ... de belles interventions de Jerry GARCIA et tout le talent musical de ce grand groupe, servi par une excellente prise de son (Warner).

JCP

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Henryk SZERYNG dans ses oeuvres, celles où il excelle.

Ce très grand violoniste, aujourd'hui disparu, a laissé quelques interprétations de la musique de JS BACH qui font date. Capable de gommer de l'instrument tout ce qu'on peut lui reprocher afin de le rendre apte à la musique baroque, SZERYNG nous livre ici une des meilleures interprétations de ces oeuvres immortelles.

Pas de maniérisme, pas d'ornement, pas de "romantisation" de ces oeuvres qui n'en ont cure, mais une sonorité sobre et pure pour une musique qui l'est tout autant...

A écouter aussi par le même artiste: les sonates pour violon seul et les sonates pour violon et clavecin du même JS BACH .

JCP

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Un opéra taillé sur mesure pour les trois solistes.

On peut toujours émettre quelques réserves sur ce très grand ténor qu'est Pavarotti, trouver sa voix trop chaleureuse, trop ornée, en un mot trop italienne. Il ne fait pas dans la sobriété ici non plus, mais le rôle s'y prête: quoi de plus romantique que ce sujet là ?

On lui pardonne toutes les fioritures qui lui sont tellement naturelles, elles sont ici bienvenues, Sutherland en Violetta y est impériale et Manuguerra en Germont y frise la perfection, mon interprétation préférée...

JCP

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Banda de Gaitas LEDICIA.

Sans atteindre peut être le talent du Bagad de Lann Bihoué (chauvinisme ?), un aperçu de la musique celtique espagnole traditionnelle du Finisterre, la Galice donc. Ici, en plus des cornemuses et des bois, beaucoup de percussions et un piano, élément original qui s'intègre très bien dans l'ensemble.

A connaître.

JCP

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Madness of the West, compilation de titres de 1980 et 1981, ALLMAN BROTHERS, Rock USA.

Archétype du groupe Rock traditionnel étatsunien avec Lynyrd Skynyrd entre autres, les Allamn Brothers connurent eux aussi de nombreux remaniements, ce qui semble être véritablement la plaie du Rock américain en général ; on ne se souvient que trop du Jefferson Airplane, de Creedence ou des BYRDS, pour ne citer qu'eux, 100 fois hélas ... aucun groupe de Rock de ce pays n'atteint l'exceptionnelle longévité des Rolling Stones ...

La mort dans un accident de moto en 1971 du meilleur guitariste soliste (le groupe en avait 2...), Duane Allman, (responsable de l'excellent solo de "Layla" d'Eric Clapton), le groupe connut d'incessants changements de personnel qui cependant altérèrent assez peu l'esprit et la couleur de leur musique.

Ici une excellente compilation qui en est à peine une puisque répartie sur deux années: La musique de ce puissant et talentueux groupe est à son apogée, construite, sereine, une masse sonore crevée de ci de là des solos de guitare attendus - un très bon disque des Allman sans Duane.

On peut ici disserter et comparer le Rock américain au Rock anglais: Le Rock américain affiche systématiquement de meilleurs musiciens, c'est une évidence. Sans doute à la suite du Jazz et de la musique Country dont le public américain était et est musicalement très exigeant, le Rock emboîta le pas avec une sélection naturelle des talents qu'est loin de posséder le Rock anglais, où l'originalité semble seule primer, trop souvent au détriment de la valeur du contenu musical. Certes il y a de grands groupes anglais, qui, soit copient la musique américaine avec plus ou moins de bonheur (le Rock puise ses origines aux USA !), soit font preuve d'une originalité débordante sans le talent nécessaire - mais connaissent pourtant un large succès populaire auprès d'un public peu exigeant en termes musicaux. Ceci est un signe des temps et va hélas dans le bon sens pour nos gouvernants (l'éradication de toute culture savante afin d'atteindre l'abrutissement des masses selon le modèle américain !), mais pas pour nos oreilles !

Y a t'il une conclusion à ces propos irrésistibement entachés d'amertume et de politique, peut être pas, chacun dirige ses propres choix, mais je maintiens personnellement une large préférence américaine en musique (non classique évidemment !), malgré un mode de vie et un régime politique honnis ... J'aime aussi Wagner, et ceci est encore une autre histoire, non ? ...

Site:  http://www.allmanbrothersband.com/

JCP

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Récital Armelle GOURLAOUËN, 2003.

Un intéressant enregistrement où l'artiste, comme au concert, présente tour à tour les trois harpes: Troubadour, Celtique et Classique.

Son blog: http://armelle.gourlaouen.free.fr/

JCP

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Ci-dessous: Harpe celtique et harpe classique, la harpe troubadour se porte contre l'épaule, soutenue par une courroie.

Photos prises au cours d'un concert dans l'église de La Turballe (Loire Atlantique), Juillet 2005.

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Détail des cames de la harpe celtique qui permettent, d'un geste rapide, de modifier la tension des cordes, et donc leur ton, tout en jouant.

JCP

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Time Out, Dave Brubeck Quartet, Jazz, USA,1959

Ce disque fit l'effet d'un séisme dont l'onde de choc infinie trouve son écho aujourd'hui encore. Immense succès populaire, convertissant au Jazz les plus réticents, farci de "tubes" immortels, il est peut être au Jazz ce que la 5 ème symphonie de Beethoven est au Classique et "Satisfaction" des Stones au Rock ...

Ce curieux enregistrement à l'inspiration débordante, plutôt que confirmer le talent de son fondateur, Dave BRUBECK, pianiste au toucher quelque peu raide, fit connaître le jeu de batterie de Joe MORELLO, omniprésent ici, mais surtout le superbe saxo alto de Paul DESMOND, vedette incontestée du groupe, et qui allait par la suite initier une belle carrière solo.

Un des indispensables du Jazz...

JCP

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One Stone, CULTURE, reggae Jamaïque.

Joseph HILL, figure emblématique de CULTURE, un des plus grands groupes de Reggae, nous a brutalement quitté en 2006, en pleine tournée aux Pays Bas.

Il nous reste sa musique avec ses compositions pleines de génie, de rythme, de mélodie. Ici un des disques (1996) les plus réussis du groupe (Ils sont tous réussis ...!)

Sites:

http://www.cyberus.ca/~jdooley/index.htm

http://www.consciousparty.com/joehilltributebook.html

JCP

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Blue Train, John COLTRANE (1926-1967), Jazz USA, 1957.

Ce Blue Train est un des premiers gros succès de Coltrane, très gros succés même de sa première période "figurative" ; ici aucun accent free jazz ne vient entacher l'écoute.

Un disque essentiel de l'histoire du Jazz, ici "remastérisé" en numérique d'excellente façon - mais reconnaissons que les très passionnés  "ingénieux" du son des années 50 avaient fait l'essentiel sur la bande "master" ...

JCP

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Orfeo ed Euridice, Christoph Willbald GLUCK (1714_1787)

Qui, tant soit peu amateur d'opéra, n'a fredonné le célèbre air:

"Que faro senza Euridice, Dove andro senza il mio ben" ou, quelque peu dénaturé par la traduction dans notre langue:  "J'ai perdu mon Euridice, rien n'égale mon malheur" ?

Vigoureuse lecture anglaise par Raymond Leppard, de bons solistes pour ce disque d'extraits.

Site: http://membres.lycos.fr/magnier/composit/gluck.html

Jean-Claude

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"American Garage", Pat METHENY GROUP, Jazz, USA, 1979.

Musique spontanée, vivifiante, aux frontières du Jazz et du Rock, un plaisir pour l'oreille que la guitare de Pat METHENY, ce grand guitariste américain, ici à ses débuts,enregistrant dans un garage ...

Son site:  http://www.patmetheny.com/

JCP

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You Must Believe in Spring, Bill Evans, piano, (1929-1980), jazz USA, 1981.

Ici tout est calme, serein, beau. Ce très grand pianiste nous offre ici ses dernières prestations, empreintes d'une certaine tristesse romantique. Il y a du Mozart dans son jeu ...

Site:    http://www.pianobleu.com/evans.html

JCP

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Sans Titre, SOFT MACHINE, Rock anglais, 1968 ?

Le premier disque de ce remarquable groupe, alors quelque peu concurrents de Pink Floyd mais dans une musique sensiblement différente, musique sans âge qui n'a pas vieilli, avec la voix susurrante de Robert WYATT... Le groupe, résolument orienté Jazz-Rock par la suite au regret de certains (dont je fus), disparut après l'accident de Robert Wyatt, batteur et chanteur (paraplégique, suite à une chute d'escalier) qui suit toujours une belle carrière solo.

Site:  http://calyx.club.fr/softmachine/index.html

Robert WYATT:  http://www.disco-robertwyatt.com/

JCP

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Carmina Burana, Carl ORFF (1895-1982)

Oeuvre atypique s'il en est, ces Carmina Burana sont inclassables et souvent mal aimées (c'est mon cas, je n'ai jamais pu trouver bien grand plaisir à leur écoute ...). ORFF, compositeur contemporain très peu prolifique, a écrit cette curieuse cantate hors du temps, que certains qualifient de "Néo-Baroque", curieux terme inventé mais qui semblerait assez adapté...

Ici dans une des interprétations reconnues comme étant "de référence" par la critique, ce qui semble parfaitement justifié de par les solistes et le chef qui sont remarquables. Prise de son bonne, sans plus (1968, DG).

La première de ces pièces est vénérée par certains amateurs de Hard Rock et fait parfois office de "musique d'ambiance" en attendant l'apparition sur la scène enfumée et suréclairée des plus féroces hardrockers, étonnant non ?

Site:   http://pagesperso-orange.fr/garry.holding/music/autres/html/orff.htm

JCP

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Sonates pour violon et clavecin,  Jean Sébastien BACH (1685 - 1750)

Une de ces oeuvres qui vous suivent une vie entière, vous collent à la peau et dont on ne se défait jamais, comme d'autres oeuvres de ce compositeur génial, toujours respecté et même encore craint de nos jours par les interprètes.

Henryk SZERYING reste le violoniste qui a marqué cette musique, sachant s'y montrer humble et sobre à souhait, évitant les pièges tendus par l'instrument, propice à romantiser cette musique qui est tout sauf cela.

Walcha l'y acccompagne de la même manière sur un instrument qui, lui, ne sait pas ce que peut représenter le mot "romantique", superbe interprétation pleine de finesse, de rythme et de retenue, du BACH en somme ...

Sites:

http://www.musicologie.org/Biographies/bach_js.html

http://www.uquebec.ca/musique/catal/bacjs/bachbio.html

Jean-Claude

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Concertos pour piano 13 & 14, MOZART (1756-1792)

La vision de ces concertos par la jeune Maria Joao PIRES (1973) est faite de ce toucher plein de sensibilité qu'elle seule est capable de montrer et qui va si bien à la musique de Mozart...

Excellente prise de son et mixage analogiques propres à la très regrettée maison de disques française ERATO ...

JCP

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